On va commencer par dire ce qu’est une religion. Une religion est un ensemble de croyances, de pratiques et de rites communs à un grand nombre d’êtres humains, qui définissent le rapport de l’homme avec le sacré et une part de sa compréhension du monde. Il a existé de très nombreuses religions et mythologies sur la Terre, avec chacune ses caractéristiques particulières.
Le judaïsme, le christianisme, l’islam, le bahaïsme et encore pleins d’autres religions peu connues, par exemple le yezidisme ! Toutes ces religions sont les raisons de la guerre de l’humanité ! Alors imaginez-vous s’il n’y avait pas de religions, la vie sur le monde serait plus simple ? (Vous ne l’avez jamais imaginé ? Moi si !)
Croyez-vous vraiment que dieu a inventé toutes ces religions pour créer la guerre entre nous tous ?
Dans quel monde souhaiteraient vivre nos élèves ? La question paraît presque saugrenue depuis le TINA (« There is no alternative »). Ce slogan politique de l’ancienne Premier ministre, Margareth Thatcher, signifie que le capitalisme et la mondialisation sont indépassables et bénéfiques. Pourtant, dans ce monde profondément inégalitaire, une exigence revient, celle de l’égalité chez nos élèves de terminales Gestion administration.
Un monde égalitaire et sans argent
Ma vision d’une société idéale est que la paix règne dans le monde et que personne ne manque de rien, que tout le monde soit à égalité. Que les êtres humains traitent correctement les animaux et qu’ils soient tous libres. Qu’il n’y ait ni riche ni pauvre, que l’argent n’existe pas et que tout le commerce fonctionne sans salaire et que les gens soient totalement d’accord pour être bénévoles dans la société. Que le fait de tuer ne soit pas sanctionné car les gens vivraient dans une société où tout le monde se comporterait correctement avec tout le monde, donc il n’y aurait pas besoin de tuer. Que chacun exerce sa religion librement sans être jugé et que les gens n’oublient pas les vraies valeurs de la vie.
Anissa
L’homme serait respecté pour ce qu’il est et non pour ce qu’il a