Archives de catégorie : Histoire

Une sortie royale au Château de Versailles !

Nous avons commencé la journée de ce mercredi 25 mai 2022 en partant du lycée vers la Défense dès 8 heures – 8 heures pile, Monsieur Bordet toujours à l’heure ! -. Nous avons pris la ligne U – M. Bordet et des camarades se sont trompés de quai ! -.

Une fois arrivés, nous nous sommes mis par petits groupes. Nous avons visité les différentes salles du Château : la chambre du roi, de la reine, le magnifique salon d’Hercule ou la galerie des glaces et plein d’autres pièces, toutes plus belles les unes que les autres.

Une sortie loin du quotidien, dynamique et apaisante à la fois

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A la découverte de l’art de la calligraphie et du zellige à l’Institut du monde arabe

J’ai eu la chance d’effectuer deux sorties scolaires en cette fin d’année, la première à l’Institut du monde arabe organisé par notre documentaliste, Madame Friquet, et la seconde au Château de Versailles (voir ici). Cela nous a permis à ma classe et moi-même de pouvoir décompresser, vider notre esprit qui était rongé par les cours : les oraux de langues pour le bac, l’oral du chef d’œuvre, les CCF… avant de passer la toute dernière étape de notre belle année scolaire de terminale qui est d’obtenir le diplôme du baccalauréat.

A lInstitut du monde arabe, un groupe avait un atelier sur l’art du zellige tandis qu’avec mon groupe de dix élèves, nous étions dans l’atelier calligraphie où nous avons pris connaissance de l’alphabet arabe. Par la suite, nous avons pu écrire nos prénoms en arabe également avec un encrier et un bâton en bambou.

Nous avons eu des explications sur l’apparition de la calligraphie et même un mini cours d’histoire donné par l’animatrice à ce sujet. En plus, nous avons pu visiter la partie du musée consacrée à la calligraphie.

Photo : Laura Friquet

Chloé, Terminale bac pro commerce.

Joséphine Baker, première icône noire et figure de la résistance contre tous les racismes

Le Jeudi 21 octobre à 14h, dans le cadre de la panthéonisation à venir de l’artiste Joséphine Baker, l’association Cinéma pour tous, en partenariat le musée de l’histoire de l’immigration, proposait à de nombreux collégiens et lycéens de France de regarder le documentaire d’Ilana Navaro, Joséphine Baker première icône noire. A l’issue de la projection, l’historienne Véronique Servat a pu répondre aux nombreuses questions des élèves sur cette femme hors du commun dont les Cadets retracent ici les principales étapes de sa vie.

Ce documentaire retrace l’histoire de la vie de Joséphine Baker. Sa vie est une véritable épopée. Née en 1906 à Saint-Louis dans l’état du Missouri aux Etats-Unis, elle incarne une figure de la résistance à la ségrégation américaine et de la lutte contre le racisme. Joséphine Baker est une chanteuse, danseuse, actrice, meneuse de revue, militante et membre de la Résistance.

Extrait du documentaire Joséphine Baker – Première icône noire d’Ilana Navaro, 2017.
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Ultime combat, l’expo coup de poing

Jeudi 14 octobre les Cadets de la République étaient au musée du Quai Branly – Jacques Chirac pour l’exposition Ultime combat consacrée aux arts martiaux d’Asie. Compte-rendu.

L’exposition du quai Branly nous propose une immersion dans l’univers des arts-martiaux et de la culture guerrière asiatique. Les personnages emblématiques de cette culture sont mis en avant grâce à des œuvres retraçant leurs parcours. L’histoire de la mythologie est abordée notamment lors du début de l’exposition quand les batailles hindoues et bouddhistes sont retracées.

Par ailleurs, ce qui marque lors de cette exposition, ce sont les combats riches en intensité qui sont parfaitement accompagnés par les tenues des combattants plein de détails, de couleurs et de singularité. C’est notamment ce qui nous saute aux yeux lors de la visite : la disposition des tenues qui se veut omniprésente est marquée par les jeux de lumières les mettant en valeur.

Une salle entière consacrée à Bruce Lee

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Les damnés de la Commune, un film d’animation sur Arte à ne pas manquer

Boudée par la télévision française, la Commune de Paris, à l’occasion du 150ème anniversaire, est sur le petit écran avec un film d’animation remarquable à voir sur Arte jusqu’au 19 août 2021. Une occasion pour nos élèves de connaître ce grand moment d’émancipation populaire trop absent des programmes. Compte-rendu de ces évènements révolutionnaires par les Cadets de la République.

Raphaël Meyssan, l’auteur du documentaire « Les Damnés de la Commune » a réalisé ce film d’animation à l’aide de gravures et d’images de l’époque. Il retrace des événements survenus entre 1869 et 1880. Raphaël Meyssan a décidé de nous faire découvrir la Commune en nous mettant dans le personnage de Victorine Brocher, une des militantes anarchistes, nettement moins connue que Louise Michel. Nous suivrons son évolution en tant que mère, citoyenne, ambulancière et soldat. Elle et différentes personnalités politiques œuvrent pour la liberté de la France et Paris.

Les funérailles du journaliste républicain Victor Noir en 1870, assassiné par un cousin de l’empereur. Victor Noir devient le symbole de la République assassinée par l’Empire. Toute la colère du peuple opprimé depuis des années ressort à ce moment-là. Capture écran du documentaire graphique, Les Damnés de la Commune de Raphaël Meyssan, Arte.

Avec Haussmann, Paris devient le paradis des riches

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Un documentaire fabuleux, L’odyssée de l’écriture

Ce film documentaire nommé « L’odyssée de l’écriture » réalisé par David Sington et produit par Arte France en 2020 retrace l’histoire de l’écriture, de son commencement à aujourd’hui, et comment elle pourrait évoluer. Il est divisé en trois parties.

Au début de l’écriture, le rébus

Le premier volet raconte la naissance de l’écriture. Elle est apparue 3 300 ans avant J-C en Égypte ainsi qu’en Mésopotamie. Au départ, c’était de simples représentations de ce que le dessin signifiait. Par exemple, des ailes définissaient les oiseaux de la région. Après ce fut le principe du rébus qui a été utilisé en Égypte. Les premières syllabes des mots sont utilisées avec d’autres afin de former des mots impossibles à représenter à l’aide d’un dessin ou pour alléger les plaques de terre cuite ou les murs qui servaient de support aux textes.

La forme de notre lettre latine A provient, après de nombreuses transformations graphiques au cours des siècles, de la forme du hiéroglyphe égyptien désignant le taureau.

L’apparition de l’alphabet, un apport des travailleurs migrants de Canaan

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Histoire coloniale : retour sur la pacification de la Côte d’Ivoire

La révolution industrielle au XIXème siècle a engendré un boom démographique sur le continent européen. A la recherche de débouchées, l’Europe se tourne vers l’Afrique notamment. C’est le début de l’impérialisme. L’impérialisme est la doctrine qui préconise la domination économique, politique et sociale d’un Etat fort sur un Etat plus petit. Nous nous pencherons sur le cas de le Côte d’Ivoire.

Les causes de l’impérialisme sont multiples mais la plus probante est la recherche de lieux pour écouler la marchandise à cause de la crise de surproduction. Tout d’abord, il y a des raisons humanitaires et civilisatrices. L’Europe se donne pour mission de civiliser les populations indigènes en leur apportant la médecine et les vaccins ainsi que la religion, c’est-à-dire le christianisme.

La Côte d’Ivoire devient colonie française en 1893

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Femmes et esclavage, histoire d’une relation déchirante

À l’époque de la traite négrière, les femmes noires étaient soumises à leurs maîtres comme les hommes. Cependant, leur rôle de servitude était différent. Elles faisaient les tâches ménagères, la lessive, l’amidonnage et le fonctionnement des foyers. Bien sûr, certaines d’entre elles ont été affectées au même titre que les hommes aux travaux de plantations, elles assuraient également la survie de familles blanches. Un autre rôle peu connu était d’être auprès de la famille esclave. Elles s’occupaient des enfants, s’occupaient du repas, de ménage malgré leurs journées passées aux champs ou au travail, puis dans la maison du maître et enfin dans le foyer. Une triple journée de travail en somme.

La pratique cruelle de la condition du ventre

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La royauté et l’esclavage

La traite négrière est légalisée par le roi de France Louis XIII. Il fait preuve d’hostilité au départ mais il se laisse convaincre par le fait que la traite négrière lui est présentée comme le meilleur moyen de christianiser les Africains. Son successeur, Louis XIV qui promulgue le « Code noir » en 1685 encourage la traite négrière en donnant une subvention pour chaque esclave introduit dans les colonies.

L’esclavage organisé et codifié pour le profit

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Les esclavagistes ont des visages

L’esclavage, à travers la traite négrière est un sujet qui nous concerne tous et qui sucite des débats dans nos classes mais aussi dans l’ensemble de la société. Ouvrons le dossier et discutons-en…

Souvent on dit rapidement que les esclavagistes de la traite négrière sont les « Blancs », nous allons voir que c’est plus compliqué. Le commerce triangulaire se fait entre trois continents qui sont l’Afrique, l’Europe et l’Amérique. L’Europe était la pièce maîtresse avec l’Afrique du commerce triangulaire.

Les personnes qui dirigent l’esclavage sont le roi, les nobles et la bourgeoisie naissante.

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Gaston DeFferre, le maire de Marseille qui côtoyait les gros poissons

Télévision. Officiellement, la République traque les voyous. Mais l’épisode 2 Petits arrangements entre amis de la série documentaire Les gangsters et la République diffusée sur France 5 en 2016 montre une réalité toute autre. Exemple avec Gaston Deferre.

Au lendemain de la Seconde guerre mondiale (1939-1945), il y avait beaucoup de communistes à Marseille. Le but du jeune Gaston Deferre, homme politique socialiste, était de diminuer l’emprise des communistes sur Marseille, en particulier sur le port autonome, contrôlé par le puissant syndicat des dockers, la CGT (Confédération Générale du Travail).

Pendant les années Defferre, la police et la justice ne peuvent rien contre le clan Guerini

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Tous égaux aux Etats-Unis ?

Les Noirs Américains ont toujours lutté pour l’égalité, mais n’y sont toujours pas parvenus, comme nous pouvons le constater au mois de septembre 2016.

Tout commença par l’esclavage : plusieurs millions de noirs africains sont amenés par force aux USA en 1619. Ils ont dû lutter pour se libérer de l’esclavage. La lutte ne s’est pas arrêtée là. En 1955, une femme noire, Rosa Parks, se rebelle et refuse de céder sa place dans le bus à un blanc. Un pasteur devenu célèbre, Martin Luther King, lutte contre la ségrégation raciale. Puis, Barack Obama devient président de la république aux Etats-Unis. Les Noirs Américains ont l’espoir qu’il va changer les choses. Mais, en fait, non, ça s’est aggravé avec les bavures policières (comme l’affaire Adama Traoré âgé de 24 ans, qui s’est fait tuer le 19 juillet 2016 à la gendarmerie de Persan en France).

Toutes les stars noires américaines luttent contre la ségrégation raciale, comme Denzel Washington, Will Smith, Beyoncé, Lebron James ou Alicia Keys. La question est : est-ce que l’égalité existe vraiment aux USA ?

Un élève

Article paru dans PPL Actus numéro 3 – décembre 2016/janvier 2017.

Photo d’lllustration : publicdomainpictures.net

Notre folle sortie à l’expo Frontières au musée de l’histoire de l’Immigration

Une sortie scolaire avec nos élèves de lycée pro, ce sont souvent des moments inoubliables et… parfois en dehors des codes de la culture commune pour certains, surtout quand il s’agit de la pratique muséale… Retour sur cette sortie qui a ravi nos élèves.

Ah, c’est vrai, quand on parle de musée, c’est tout de suite ennuyant et sérieux et vous avez raison ! Mais, croyez-moi, une sortie avec ma classe, les 1GA, n’est jamais ennuyante du tout. On trouve toujours le moyen de
rendre les choses plus amusantes et moins sérieuses. Notre sortie du 15 avril 2016 avec nos professeurs (M.  Bordet, M.Azouaou et M. Tchakam) a été mouvementée pour eux et drôle pour nous… En effet, vu que c’était notre première sortie en deux ans, nous étions en quelque sorte super excités et hyper contents d’y aller.

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Immigration : les souffrances et la dignité de ma mère, partie d’Oujda pour Paris

Lorsque l’on est au bled et qu’on quitte notre pays natal pour travailler ou autre, il faut savoir que la vie n’est plus la même. La nourriture, les habitants, les tenues vestimentaires, la mentalité, la façon de vivre, les rues, les maisons, les immeubles, les commerces et les prix changent. C’est une nouvelle vie qui commence. Soit tu réussis, soit tu tombes. Le changement n’est facile pour personne.
Ma mère s’est mariée à 18 ans à Oujda, au Maroc, et est venue en France un an après. Elle est venue rejoindre mon père à Paris. Elle était si impatiente d’arriver en France. Elle ne savait ni lire, ni parler et écrire français. Elle ne connaissait pas la France et n’avait pas de travail jusqu’au jour où elle trouva du travail comme nourrice et technicienne de surface. À l’époque, on n’avait pas besoin de diplôme pour ces métiers-là. Elle rentra donc dans la vie active.

De retour au bled, ma mère ne racontait que du bien de la France mais elle avait les larmes aux yeux.

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« Black music », une révolution culturelle des champs de coton aux ghettos du bronx

Joan (1ère GAE) a visionné pour vous le film documentaire « Black music. Des chaînes de fer aux chaînes en or » (1). Des origines de la musique noire américaine dans le Sud esclavagiste au gangsta rap actuel, ce documentaire est plus qu’une histoire des différents genres musicaux aux états-Unis : gospel, blues, jazz, swing, hip-hop… C’est aussi toute l’histoire du long combat pour l’émancipation des Afros-Américains dont il est question.

1865, fin de l’esclavage dans le Nord des États-Unis. C’est le début de 90 ans de ségrégation. L’abolition de l’esclavage n’est en fait qu’une illusion vu que les Noirs n’avaient pas les mêmes droits que les Blancs : bus, écoles et lieux publics réservés aux Blancs et interdits aux Noirs.

Pendant ce temps là, ils inventèrent dans les plantations de coton du Sud le blues. Puis, le jazz apparut avec ses plus grands noms, Louis Armstrong ou Duke Ellington, l’un des premiers Noirs à se produire dans un club de Blancs, l’un des plus grands clubs à cette époque, le Cotton Club. Mais, les Noirs n’avaient pas le droit d’être dans le club en tant que spectateur. C’était l’une des faces cachées de ces années Folles.

« Stange fruit, bien plus qu’une chanson de Billie Holiday : l’une des plus plus puissantes dénonciations du lynchage »

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Au CDI : Les juifs de France dans la Shoah

Durant quinze jours, les élèves du lycée Balavoine ont pu visiter une exposition accueillie dans le CDI de l’établissement. Celle-ci, prêtée par le Mémorial de la Shoah qui se trouve à Paris, avait pour sujet Les juifs de France dans la Shoah. Différentes classes sont venues avec leur professeur travailler sur les thèmes abordés comme la naissance de l’antisémitisme, la vie des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale ou la résistance.

Ces visites ont permis de mettre en place des débats et de montrer l’importance de garder en mémoire les événements afin d’éviter de les reproduire.

Mme Friquet (documentaliste)

Article paru dans Bal’actu numéro 7, décembre 2012/février 2013.

Photo : Mme Friquet.

Du ping-pong au tennis de table : une histoire riche en… rebondissements !

Le tennis de table a été inventé en Angleterre à la fin du XIXème siècle. Ce jeu était alors très prisée par la noblesse. A cette époque, cette discipline se pratiquait avec des balles en caoutchouc ou en liège, une planche qui servait de filet et avec une raquette en couverture rigide de livre. Le terme ping-pong caractérisait le son de la balle contre la raquette.

Un set en 21

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50 ans après, ne pas oublier la guerre pour l’Indépendance de l’Algérie

Cette guerre n’a jamais été oubliée. En Algérie, il y a beaucoup de personnes qui se souviennent de cette guerre. En entendant des vieux ou des jeunes quand je vais là-bas, je comprends qu’avant l’Indépendance, c’était un peu la loi du plus fort. Beaucoup de vieux, nous ont raconté que des militaires français les maltraitaient et posaient toujours la même question : « où sont les fellaghas ? ». Et invariablement, ces personnes âges disaient on ne sait pas où sont les fellaghas.

Le combat pour l’Indépendance plus fort que tout

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Guerre d’Algérie : « l’école reste encore le lieu privilégié de la transmission »

Saad Chakali, assistant de conservation du patrimoine et des bibliothéques au Blanc-Mesnil (93), écrivain et auteur du site Des Nouvelles du Front, dédié à la critique intellectuelle de films, était invité à une discussion avec les terminales Vente autour de la guerre d’indépendance du peuple algérien. Une après-midi d’échanges passionnants. Compte-rendu.

Sur l’invitation du professeur de lettres et d’histoire-géographie Monsieur Guillaume Bordet, et sous couvert de son chef d’établissement Madame Bourdier, j’ai eu le plaisir d’échanger de passionnants propos avec les élèves de la classe Terminale Bac Pro Vente du LP Daniel Balavoine (92) au sujet de la guerre d’indépendance du peuple algérien. A cette occasion, je me suis présenté à eux, un DVD sous le bras, afin d’accompagner et de soutenir notre discussion commune. Il s’agissait du film intitulé La Trahison réalisé en 2005 par Philippe Faucon d’après le récit éponyme de Claude Sales rédigé en 1999.

La Trahison, un film à partir de l’histoire vraie d’un militaire français, Claude Sales

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