Archives de catégorie : Santé

Une journée sur les violences domestiques au lycée Paul Painlevé

Cinq après son bac pro accueil en poche au LP Paul Painlevé de Courbevoie, une ancienne élève est revenue en mai 2021 au lycée pour intervenir devant deux classes sur le thème des violences domestiques dans le cadre, cette fois, de son master 2. Un sujet sensible qui a touché les élèves.

Dans un premier temps, je vais me présenter, Sarah Mokaddem, j’ai passée 3 ans au sein du lycée Paul Painlevé de 2013 à 2016. J’ai passée trois belles années au sein de ce lycée avec comme professeur monsieur Bordet, c’est lui qui m’a poussé à écrire tout pleins de choses sur le journal lycée, c’est pourquoi je continue de le faire.

Aujourd’hui grâce à l’énergie et à la motivation que l’on a pu me transmettre, j’ai décidé de continuer mes études jusqu’en Master 2.

Un projet de groupe monté de A à Z avec cinq étudiantes de Master 2

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Dans cette épreuve la solidarité est revenue

Une fois le confinement levé nous reprendrons tous notre vie quotidienne. Mais il y aura un après le confinement. Suite à cette grande épreuve que le monde entier a subie il y restera une chose positive : la solidarité est revenue. Je le vois autour de moi, les liens familiaux se sont renforcés et pour moi c’est une chose qui prouve que l’être humain face à une épreuve peut oublier ses mauvaises pensées et aider l’autre. Mon souhait est que la vie normale reprenne. Que nous reprenions nos habitudes et que tous ces gens hospitalisés guérissent et j’espère que le peuple français continuera à avoir une telle reconnaissance auprès du corps médical après le confinement comme nous pouvons le voir chaque soir. Il ne faut pas que nous oublions cette épreuve car elle aura été une leçon et un défi.

Adam – Terminale gestion administration

Article paru dans le numéro 8 de PPL Actus, avril 2020.

Photo : Pixabay

Tous les soirs à ma fenêtre pour applaudir les soignants : cela m’émeut à chaque fois

Depuis le début du confinement, je me lève tard, mais cela n’est pas des vacances pour moi. Puisqu’au départ, c’était difficile de pouvoir travailler à distance car il n’y avait pas de connexion internet. Heureusement, ça s’est amélioré par la suite. Certains profs ont créé des groupes WhatsApp pour communiquer avec ma classe et pour donner des informations concernant les devoirs qu’on doit réaliser afin de les envoyer à des adresses mail.

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Ce confinement est une chance

Depuis le début du confinement, je trouve que cela a été positif car j’ai pu réaliser des choses que je n’aurais pas faites. J’ai eu le temps de finir des choses que je pensais ne jamais finir comme mes devoirs, réviser et m’avancer sur mes cours, me reposer car avec le travail, sachant que j’étais toujours en heures supplémentaires, je n’arrivais pas à suivre les cours et je me retrouvais toujours fatiguée, stressée ou bien en manque de confiance en moi. Je me disais que si je ne rattrapais mes cours, je ne pourrais jamais avoir mon baccalauréat.

Rien ne me déplaît car même avant le confinement

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Rester enfermé c’est comme une atteinte à ma liberté !

Depuis plusieurs semaines maintenant, je dois faire face comme tout le monde à une situation que jamais je n’aurai pensé vivre un jour. Prise de conscience de la gravité de cette épidémie grâce aux informations et de la peur qui gagne. Les rues sont désertes, tout est fermé, obligé de rester enfermé et pour moi c’est glauque, c’est comme une atteinte à ma liberté ! Obligé de prouver tous mes déplacements même quand je sors mon chien ! Je réfléchis et je me dis : c’est pour la bonne cause.  Mais il faut que ça s’arrête !

Pas toujours facile avec certains professeurs

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Je ne pensais jamais dire ça un jour, mais oui l’école me manque

Mon premier jour de confinement avait comme un air de vacances, sans vraiment prendre au sérieux ce qu’il se passait. Réveil à 15h, petit déjeuner, télévision et téléphone, une vraie vie d’artiste… Les jours passent puis les discours de notre président, les nouveaux cas et encore des morts…

Je n’aurais jamais cru que ce confinement affecterait mon humeur, j’ai perdu ma liberté, j’ai perdu ne dirais-je pas ma joie de vivre mais presque car cette situation nous affecte tous et personne ne voit réellement les dégâts, du moins personne ne veut vraiment se les avouer. Que ce soient les dégâts physiques ou psychologiques de chacun d’entre nous.

Quelle chance d’avoir de magnifiques professeurs !

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On demande à nos parents d’être professeurs de toutes les matières !

« Nous sommes en guerre contre un ennemi invisible et insaisissable » a déclaré Emmanuel Macron. J’ai été choqué d’entendre que notre président de la République nous appelait à la mobilisation générale « afin de ralentir la propagation du Coronavirus ». Allons-nous vivre ou mourir ? Vais-je perdre des proches ? Tant de questions à cause de cette pandémie…

Aucune sortie depuis l’arrêt des cours

Ma famille et moi, nous restons à la maison et nous respectons les gestes barrières. Pour ma part aucune sortie depuis l’arrêt des cours. Je ne vis pas très bien les cours à distance car j’ai besoin que nos professeurs expliquent. Du jour au lendemain, on demande à nos parents d’être professeurs de toutes les matières, ce n’est pas évident ! Ce qui me manque dans ce confinement, c’est de pouvoir sortir, voir ma famille et mes amis. Et ce que j’apprécie c’est de pouvoir dormir. Ce qui est le plus difficile, c’est le confinement avec nos parents…

Kiyane – Seconde Métiers de la relation client 3

Article et dessin de Rania(Première commerce) parus dans le numéro 8 de PPL Actus, avril 2020.

Inconscients du danger nous n’étions pas préparés à un tel chamboulement quotidien

En confinement depuis le 16 mars, aujourd’hui c’est mon 17ème jour de confinement, je suis totalement déréglée. Au lieu de dormir la nuit, je dors la journée et j’ai perdu l’appétit, je ne mange qu’une fois par jour maximum, ce qui fait que je dois avoir perdu au moins 3kg alors que mon objectif est d’en prendre. Le fait de rester enfermée chez moi à travailler me met légèrement en dépression, mais au moins je dors à volonté.

J’ai l’impression qu’on m’empêche de vivre

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Confinement : un cauhemar éveillé

J’ai appelé cette œuvre « Un cauchemar éveillé ». J’ai eu cette idée par rapport à mon ressenti. J’ai utilisé une feuille canson A3 pour une meilleure base. J’ai dessiné à l’aide d’un crayon à papier, de crayons de couleur et d’un feutre pour certains détails.

Ce dessin représente mon quotidien au cours de cette période. La jeune fille vit dans un monde de virus, de bactéries et d’obligation sanitaire. Mais pour oublier ça et ne pas subir ce confinement, elle s’occupe l’esprit en faisant certaines activités représentées par ce nuage de pensée.

Dessin et texte d’Émilie – Seconde alternance commerce

Dessin et texte en une du « dossier spécial confinement » paru dans le numéro 8 de PPL Actus, avril 2020.

Les harceleurs nous font mal, agissons, parlons-en !

Pour moi, le harcèlement commence très tôt, environ vers l’âge de 11 ou 12 ans. Des garçons comme des filles peuvent se faire harceler à l’école. Le harcèlement commence par des petites réflexions, des intimidations et ça peut aller très loin, jusqu’à pousser des personnes à se suicider. Les harceleurs sont généralement plusieurs.

En primaire, un groupe de filles m’a rabaissée, j’étais très mal, triste, seule

Quand j’étais en primaire, un groupe de filles est venu vers moi, m’a prise dans un coin et m’a rabaissée. Elles me poussaient, je ne sais plus pour quelles raisons, mais j’étais très mal, triste, un sentiment d’incompréhension. Personne n’est venu m’aider, j’étais seule.

C’est très perturbant de se faire suivre dans la rue

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De la maternelle au lycée, le harcèlement en… pire

Dès la primaire, voire avant, en maternelle, la plus petite école, ça commence. Le harcèlement n’existe pas vraiment encore mais beaucoup d’enfants sont à l’écart. J’ai vécu l’expérience moi-même, je passais mes recréations toute seule assise sur un mur à regarder d’autres enfants jouer entre eux. Jusqu’ici rien de méchant. En primaire le harcèlement à l’école commence vraiment, même les plus petits s’y mettent, mais ce ne sont toujours pas les pires.

Le harcèlement est présent et surtout plus violent dans les collèges, les lycées et même au travail pour les adultes. Un policier s’est suicidé en Moselle le 7 février 2018. Une enquête a été ouverte pour harcèlement. Le policier se faisait harceler par ses collègues de travail. Il a fini avec une balle dans la tête.

Au collège, le harcèlement s’élève encore d’un cran, les bagarres et les insultes commencent

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Drépanocytose. C’est comme si mes os se resserraient entre eux et que tu n’as pas la force de bouger

La drépanocytose est une maladie génétique. Cette maladie est répandue chez les personnes du continent africain et les afros américains. Cette maladie a été découverte en 1910 par le médecin James Herrick. Il n’y a pas encore de remède pour cette maladie. C’est la maladie génétique la plus fréquente dans le monde, avec environ 310 000 naissances concernées chaque année. La drépanocytose est due à la substitution d’un seul résidu d’acide animé sur la chaîne de l’hémoglobine, protéine des globules rouges, assurant le transport de l’oxygène dans le sang. C’est une maladie héréditaire.

Il n’y a pas de remède pour cette maladie

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Mon meilleur ami était handicapé

De nos jours, les personnes handicapées ne sont pas considérées comme des personnes « normales » alors qu’ils ont aussi un nez, une bouche, des oreilles, deux jambes et deux bras. Donc je ne vois pas pourquoi les handicapés ne sont pas considérés comme des personnes « normales ». Souvent on éprouve de la pitié pour eux alors qu’ils n’apprécient pas forcément. Mon meilleur copain était handicapé et je faisais abstraction de son handicap et de son fauteuil, mais ce n’était pas le cas de tout le monde.

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Nos parents n’avaient pas de poRtables, Ils avaient une vie

La génération d’aujourd’hui n’est plus comme celle d’hier, toutes les relations sociales ont changé, que ce soient amicales, amoureuses ou familiales. Nous n’avons plus les mêmes façons de penser qu’avant, Je pense que tout ça est lié aux changements de vie qui sont causés en particulier par la technologie. Les jeunes d’aujourd’hui ne peuvent plus se passer de leur téléphone, tablette, ordi ou autre car ce sont devenus des besoins vitaux voire même des drogues alors que la génération qui nous précédait n’avait pas besoin de tout ça pour vivre, au contraire ils étaient même plus heureux que nous actuellement.

C’est malheureux de voir le langage vulgaire de certains

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Tatouage et piercing : nos bons conseils !

Wesh, c’est nous les 1ère Gestion Adminsitration du lycée du Parc Saint-Jean à Toulon ! Le 13 février, dans le cadre de la quinzaine sur la santé, on a assisté à une intervention sur les tatouages et les piercings. Dangers à éviter et petites astuces, on vous dit tout !

Dès qu’on est arrivés, le mec de l’intervention nous attendait autour d’une table. Dessus il y avait des cartes avec différentes questions. Genre la première question que j’ai piochée, était « Lorsqu’on se fait comme tatouage une vague, que cela représente t-il ? ». Comme des hmar (des ânes), on a dit beh : « à la mer ». En fait, c’était tout simplement le signe de la liberté. Ce signe est l’ancêtre du signe de l’infini qui est à la mode zerma (genre) cette année.

Soleil : danger !

On a aussi eu des conseils par le mec et des trucs à ne pas faire comme se tatouer en été parce que le soleil peut provoquer sur le tatouage des sortes de bourrelés. Le tatouage peut aussi changer de couleur, comme le tatouage des vieux couleur vert bouteille. Si t’es trop tenté de t’faire un tatouage en été, zerma début juillet, il faudra bien le protéger, mettre des manches longues si tu le fais sur le bras. Et surtout mettre de la crème solaire à indice 50.

Attention au piercing autour de la bouche

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Comment les créateurs de jeux vidéo nous rendent dépendants

Les jeux vidéo sont un moyen de divertissement, voire un passe-temps qui doit être utilisé à durée limitée, sinon cela peut générer des troubles sur la santé comme une fatigue nerveuse, de la sécheresse oculaire, ou un isolement. Selon les personnes, il peut y avoir un manque d’appétit ou une malnutrition (chips, pizzas) et des troubles du sommeil.

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Opération don du sang au lycée du parc Saint-Jean de Toulon

La classe des 1ASSP3 (Accompagnement, soins et services à la personne) s’est mobilisée pour sensibiliser les élèves sur le don du sang : confection d’un recueil de poèmes sur ce thème à lire au CDI, passage dans les classes et accueil des élèves donneurs. Encore frileux pour donner votre sang ? Maëva vous décrit comment se passe le don du sang.

Jeudi 13 février 2014, les intervenants du don du sang sont venus au Lycée du parc Saint Jean à Toulon. L’objectif ? Récolter un maximum de sang. Tous les élèves ayant plus de 18 ans et pesant pas moins de 50kg mais aussi munis de leur pièce d’identité étaient invités à venir passer la visite médical pour avoir l’accord du médecin du don du sang pour pouvoir exercer le don.

Tout d’abord, l’élève se présente a l’accueil, une personne rentre ses coordonnées et lui délivre un dossier contenant plusieurs questions sur les quatre mois précédents. Une fois le questionnaire rempli par l’élève, celui ci passe un entretient avec le médecin qui lui pose différentes questions afin qu’il puisse lui donner l’accord. Sans l’accord du médecin aucun don ne peut être effectué.

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Alcool : arrêtez de picoler !

Ces dernières années, des études ont démontré, chez les 15 à 18 ans, un taux élevé de mortalité dû à un coma éthylique : c’est quand on se pègue beaucoup trop ! Elles démontrent également une recrudescence des maladies sexuellement transmissibles ainsi qu’un taux important de grossesses. C’est pour les jeunes qui vont en soirée et qui se bourrent bien et qui ne savent pas ce qu’ils font ! Beaucoup de filles tombent enceinte. Elles croient trouver l’amour de leur vie en 10 minutes avec une partie de jambe en l’air sans moyen de contraception ! Et, par la suite, à 17 ans, la meuf se retrouve avec un gosse, sans travail, sans logement. Les drogues licites restent dangereuses pour la santé physique et psychique. La vente d’alcool ou de tabac est interdite aux mineurs, car un comportement abusif peut entraîner de graves maladies, allant jusqu’à la mort.

Imen (1GA2)

Article paru dans PSJournal, avril/mai 2014.

Photo : PxHere.

Cannabis, héroïne et cocaïne : modes de consommation et risques

Le cannabis provient d’une plante dont on tire un stupéfiant appelé haschich. Le cannabis peut se consommer dans tout : on peut le faire en infusion, c’est à dire qu’on peut le dissoudre dans du thé ou bien le mettre dans le gâteau, le brûler pour en faire des miettes et le mettre dans la cigarette ou avec un bang (tube).

Une altération de la mémoire avec le hash

L’effet du cannabis donne une sensation de bien être, de satisfaction, de calme, de relaxation ; ça crée une augmentation de la confiance en soi, une facilité à résoudre des difficultés. Le consommateur de cannabis a les mêmes symptômes que celui qui boit ! On remarque qu’une personne qui à fumé du shit à un gonflement des vaisseaux sanguins, c’est à dire qu’il a les yeux rouges. La personne qui en consomme peut augmenter sa sensation d’appétit comme la diminuer. Il risque aussi une augmentation de sa fréquence cardiaque, c’est-à-dire que le rythme du cœur de la personne bat deux fois plus vite.

Connais-tu les risques pour la santé mentale pour le cannabis ?

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Dépendance, addiction et drogue : qu’est-ce que c’est ?

Le 20 février 2014, dans le cadre de la quinzaine sur la santé, la classe de première Gestion Administration 2 du lycée polyvalent du Parc Saint-Jean de Toulon, ont assisté à une intervention de deux heures d’un policier sur la dépendance, les addictions et les drogues. Zoom sur les effets sur la santé des drogues licites et illicites.

La dépendance, c’est l’impossibilité d’interrompre, ou d’arrêter, physiquement ou mentalement l’usage d’une chose. Par exemple la nourriture, les jeux.

L’addiction

L’addiction, c’est presque comme la définition de la dépendance mais l’addiction, c’est l’impossibilité répétée de contrôler un comportement et la poursuite de celui-ci en dépit des connaissances des causes négatives. On peut être addict à la cigarette, au sport, à l’alcool, au vol, à l’alcool, au shopping, au cannabis, au travail, au jeux vidéo, à l’affection, c’est-à-dire qu’on veut que les gens nous aiment. La majorité, vous avez un Facebook, vous êtes alors addict d’Internet. Lorsque vous êtes trop addict à quelque chose et que vous ne pouvez plus vous en passer, cela peut conduire au suicide.

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Mon parcours et mes peines en famille d’accueil

Je m’appelle Kareena, j’ai seize ans, je suis française. Je dois mon nom marocain à mon père, né à Tiznit. De lui et de sa famille, je sais presque tout. Il a émigré il y a trente ans pensant, comme beaucoup d’émigrés, trouver un travail. Ma mère, ma sœur et mes deux frères ont acquis la nationalité française il y a un an. Mes parents retournent chaque année au Maroc. Mes grands-parents sont morts et ils ont laissé un grand héritage à mon père et à ses deux frères. Il y a dix mois, j’étais chez mes parents dans ma chambre. Et tout d’un coup, je me suis trouvée dans une famille d’accueil.

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Mobilisation des élèves de la seconde GA1 pour la lutte contre les leucodystrophies

Elèves au Lycée Daniel Balavoine de Bois Colombes,, en classe de seconde professionnelle Gestion-administration, nous participons cette année au projet de l’association ELA (Association européenne contre les leucodystrophies). Pour les aider, nous comptons organiser beaucoup d’activités tout au long de l’année afin de récolter de l’argent et d’en faire don à l’association ELA. La maladie cause des handicaps qui paralysent partiellement ou totalement le corps du porteur de la maladie. Le but d’ELA est de soutenir les enfants handicapés ainsi que leur famille et de financier les recherches afin de trouver un remède pour ces maladies dites orphelines.

Plein de projets pour aider l’association ELA

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Eloge de la sieste au lycée : « J’ai dormi toute l’année, j’ai pris un abonnement ! »

Dormir en cours me permet de me concentrer davantage, de faire passer la fatigue et la faim, de me plonger dans mes soucis, de récupérer facilement et de me décrotter le nez. J’aime effectuer les contrôles parce que cela me permet de dormir plus ou moins longtemps selon la difficulté du travail. Quand ce n’est pas difficile, je me permets de dormir pendant au moins trente minutes.

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« Pourquoi bois-tu !? »

La consommation d’alcool est très répandue chez les jeunes. Et les élèves de notre lycée n’échappe pas à la règle. Chez certains, c’est même devenue une habitude, une maladie. Nous sommes allés à la rencontre de l’un de ces jeunes alcooliques.

A quel âge as-tu commencé à boire ?

J’ai commencé très jeune, à l’âge de 14 ans.

Pourquoi as-tu commencé à boire ?

Au début, ce n’était que des petites cuites et ensuite, c’est devenu une habitude. Je ne pouvais plus m’en passer.

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